Femme de lettre et grande patriote lorsque la France est vaincue en 1871, dans un temps où les expériences de « l’annee terrible» ( Victor Hugo ) sont morcelées voire attaquant la cohésion nationale, Juliette Adam regrette presque que « le ciel pur du Midi n’ait pas vu monter vers lui la fumée des bivouacs prussiens ». Nul ne pense la guerre ou la revanche dans un futur proche. « Soyons pacifiques pour être, au moment donné, des soldats. » Juliette Adam atteste bien l’esprit de son temps.
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