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Photo du rédacteurTIMOCLEIA

« Antoinette » Chantal Rogerat

Après 1968 le mouvement de libération des femmes atteint le syndicalisme. Les femmes participent de plus en plus aux grèves qui se font alors plus significatives, plus longues, plus amples, plus retentissantes. Telle par exemple la grève des ouvrières en chemises de La Confection industrielle du Pas-de-Calais à entre 1975 et 1978. C’est de cette vague que retentit « Antoinette », l’organe féminin de la CGT animé par Chantal Rogerat. Ses dirigeants restent méfiants et misogynes, il y a des départs et des scissions. FO se crispe plus encore.

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